Charly, Job et la folie de Dieu

Faut-il avoir une maison pour réaliser le rêve d’une maison ?

Job, à la fin de sa vie ? Quand il se tait finalement devant Dieu en disant :

« Je sais que tu peux tout et qu’aucun projet n’échappe à tes prises. » (Livre de Job, chapitre 42, verset 2)

a-t-il déjà retrouvé sa famille, sa santé ?

Reconnaître Dieu abscons, serait-ce être guéri tout en étant malade ? Être en bonne santé ?

« Adonaï (Dieu) bénit l’après (l’avenir) de Job plus que son en-tête (son début, son origine, son principe). » (chapitre 42, verset 12, traduction d’André Chouraqui)

Donc un fondamentalisme biblique au-delà du littéralisme ? Miracle au-delà d’un miracle de guérison ; être fondamentalement guéri, donc être fondamentalement en bonne santé ?

Est-ce que la santé nous précède, comme en bonne théologie judéo-chrétienne le salut ? En conséquence, peut-on encore tomber malade ?

Serait-ce la folie de Dieu, ou la folie de la foi ? Jouer guéri, comme être guéri ? Au fond, ne sommes-nous pas tous des malades qui s’ignorent, donc en bonne santé ?

Être en situation de handicap profond règne de Dieu ? Plus de larmes ?

Que pleurons-nous, qui pleurons-nous quand nous pleurons ?

Regarder le monde de l’autre côté ?

C’est redoutable ; abscons … théologie absconse …

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