Les rapports de forces et de pouvoirs ne sont jamais justes, même pas là où il a balance de pouvoirs. Justes ne sont que les rapports érotiques, c’est-à-dire de jeu, de séduction, de présence et d’absence, de proposition et de contreproposition, finalement de consentement, même là où il s’agit de forces et de pouvoirs. Le Cantique des cantiques en est la métaphore ; c’est la raison pourquoi il n’est pas lu en Église.