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Questionnement adressé aux amiEs féministes

C’est avec un certain agacement, encore mesuré, que je vois des féministes qui défendent la cause de la femme sans combattre explicitement les autres formes de discrimination : celle des étrangers, des personnes handicapées, des homosexuels, des requérants d’asile, etc. Dans le débat sur un rite pour partenaires enregistrés dans l’Église évangélique réformée du canton de Vaud (EERV), – rite d’ailleurs pas d’office appelé « rite de bénédiction » ; que serait-ce donc ? -, j’aimerais bien vous entendre davantage. Qu’en dites-vous ?

Pour moi personnellement, « féminisme » est devenu le terme générique du combat contre toute discrimination.

« Der neue Mensch wird in der Auferstehung Christi geboren. Mann und Frau bekommen die Kraft, um den Kampf gegen den Tod und gegen die, die uns im Banne des Todes halten, aufzunehmen. Der neue Mensch in Christus ist ein Widerstandskämpfer und ein Revolutionnär. Frauen, die wissen, wofür sie leben und wofür sie ihr Leben lassen, und Männer, die für das Reich Gottes kämpfen. » (Dorothee Sölle ; Lieben und arbeiten, Eine Theologie der Schöpfung ; Kreuz Verlag, Stuttgart 1985, p. 212)

C’est parce que je connais la discrimination dans l’univers du handicap mental que je lutte (verbalement) contre celle des personnes homosexuelles.

Par rapport à la révolution, voici ma vision dans la perspective de Pentecôte.

Armin Kressmann 2013

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