Valentine se pose des questions : Choisir son chemin !?

« Je suis prête à suivre joyeusement le Seigneur, où qu’il me conduise ; quand le chemin deviendra rude, Il me dira. – Appuie-toi sur moi – et me donnera de sa force. J’aimerais de tout mon cœur que le Seigneur Jésus me fasse la grâce de m’employer pour son service, de le soigner et de lui faire du bien en la personne de ses malades et de ses pauvres malheureux; aimer, soulager et si le Seigneur me donne ce qu’il me faut, amener quelques brebis perdues à ses pieds. » (Julie)

« L’homme est libre, comme est libre un voilier sur l’océan. Celui qui tient 1a barre, en effet, a tout loisir de choisir son cap. Mais il ne décide ni de la vitesse du vent, ni de sa direction. Il peut choisir, à la limite, d’aller contre le vent et de le remonter en louvoyant ; pourtant, à ce jeu-là, il n’avancera pas à grande allure et s’épuisera rapidement. Il peut aussi chercher à tirer parti du vent dominant et dessiner sa route en fonction des conditions météorologiques. Il n’en arrivera que plus vite à bon port et son voyage n’en sera que plus agréable ». ( Philippe-Emmanuel Rausis, Les voies du Seigneur – l’art de choisir son chemin, collection Qui suis-je /spiritualité, Ed. La Joie de Lire, Genève 1995)

Lire Matthieu 25,31-46 et « Des traces sur le sable »

Texte catéchétique faisant partie d’une série publiée en 1999 lors du centenaire de la Fondation Eben-Hézer, fondée par Julie Hofmann :

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