Le chrétien réformé n’est jamais converti ; il n’est jamais entièrement du bon côté.
Et quand il l’est une fois, par grâce ou par chance, il ne le sait pas.
Et quand il le sait, il ne l’est plus.
Le chrétien réformé n’est jamais converti ; il n’est jamais entièrement du bon côté.
Et quand il l’est une fois, par grâce ou par chance, il ne le sait pas.
Et quand il le sait, il ne l’est plus.