« Dieu », dans la bible, n’est pas toujours Dieu ; le même est un autre ;
parfois il est « Dieux » (« elohims », Seigneurs, un pluriel, Dieu, notre Dieu parmi les divinités multiples, l’argent par exemple, « mammon »), loi et religions : obéissance,
parfois « Dieu, mon Dieu » (« adonaï », SEIGNEUR… inprononçable unique), foi et conviction intime : conscience, personnelle et universelle, au-delà des religions.
Le premier exige d’Abraham de sacrifier son fils, ce qui est immoral, nous le savons tous ; le second l’en retient, ce qui est juste, nous le savons aussi, sans forcément intervenir.