De l’exégèse clownesque, du culte et du théâtre, du mortel et du sacré

« J’aurais pu l’appeler le théâtre de l’invisible-rendu-visible. J’ai préféré la formule plus brève de ‘théâtre sacré … un théâtre qui agirait comme la peste, par contamination, par enivrement, par analogie, par magie, un théâtre dans lequel l’événement lui-même tiendrait lieu de texte … un autre langage, tout aussi exigeant … que le langage des mots…