« On peut légitimement parler de maltraitance lorsque, dans l’accueil, l’accompagnement et le traitement institutionnels d’une personne, sa dignité, son autonomie, son intégrité corporelle, ses besoins fondamentaux, sa liberté de mouvement, sa mobilité sociale ou ses droits à la propriété sont ignorés, entravés ou diminués sans motifs connus et reconnus. »

Définition donnée par la CEDIS – la Commission d’éthique et de déontologie des institutions sociales du canton de Vaud (Suisse)

« La maltraitance est un ensemble d’actes, de comportements et d’attitudes commis ou omis envers une personne au détriment de son intégrité physique ou sexuelle, morale ou psychique, matérielle ou financière.
La maltraitance engendre un tort ou une blessure. Elle constitue une atteinte aux droits fondamentaux et à la dignité de la personne.»

Définition utilisée à l’Institution de Lavigny

À ces définitions j’ajoute, – en plus du physique, affectif et social -, la dimension spirituelle.